Δημοσίευμα

Lu et adoré par @stelphique :

« c’est finalement cela l’été. »

Qu’est-ce qu’on pourrait consigner de notre été? Une envie d’ailleurs, une lecture marquante, une rencontre décisive? L’été, nous ouvre grand les bras. Jetons-nous à la mer, et osons être heureux. L’été on a bien le droit de rêver, de modifier notre réalité. Mais Un été avec Camus, est-ce qu’il ne serait pas, incroyable, du coup? C’est ce que je m’apprête à vous consigner en quelques mots, pour vous inviter au voyage…
Mykonos, la belle, la splendide. Et cet auteur charismatique, qui reviendrait comme de par magie, sur son île adorée. Avouez que partager un moment aussi idyllique, ça a de quoi mettre l’eau à la bouche…Ariane rêvait de cette opportunité et quand il est là, le fameux Albert Camus, à séjourner parmi les siens, pour deux mois dans les Cyclades, elle est vite sous le charme, et nous avec. Elle rêve de le voir finir son roman préféré, mais on dirait que l’écrivain ne l’entend pas de cette oreille…

« Si vous voulez, mon avis, les hommes sont condamnés à désirer. »

Après tout, on est au paradis ou presque, en Grèce. Et l’amour est la grâce des dieux. Alors l’écrivain laisse place à l’homme, et il ne vit que pour le moment présent…Quitte à se perdre dans le fond bleu turquoise…
Bien sûr que ce livre est un hommage à ce grand penseur, mais j’ai surtout aimé l’intention de la tendresse. L’auteur le rend humain, attachant, imparfait, vivant à nouveau. Il y a quelque chose de doux dans cette parenthèse d’été: les jeux de lumières, de séductions, de panoramas. Les vagues nous caressent, le soleil est bien haut, et en fait, tout ce qu’on voudrait, c’est lire et voir écrire, en direct de notre rêverie, le grand Albert Camus, la fin de son roman inachevé…
J’ai lu et adoré Un été grec avec Camus de @demetres7990 @editions_emmanuelle_collas , et sans doute, que je me referai bien sa bibliographie complète pour apprécier encore mieux son génie, maintenant, que ce personnage m’a fait entrevoir toutes ses aspérités…

«  Les gens ont besoin de mensonges, c’est pourquoi ils acceptent de prendre le temps de lire les aberrations des écrivains… »